08h05. Paris 6e. À l’entrée du Sénat rue de Vaugirard, les gendarmes ne sont pas trop d’humeur à la danse. Dès que j’arrive, deux d’entre eux s’en vont en lançant un « Allez ! Bonne chance… » à leur jeune collègue. Un autre homme arrive, il ne plaisante pas : « Vous êtes sûre que ça va ? On peut vous aider ? ». Je le regarde avec le plus de douceur possible (énergie cœur-mains), mais il reste intraitable. Le plus jeune, celui qui est en faction, esquisse un sourire, en essayant de disparaitre derrière la grille.
08:05 a.m. Paris 6th. At the Senate entrance, on Vaugirard street, the policemen are not in a dancing mood. As soon as I arrive, two of them leave saying « well ! Good luck... ». Another man comes, he is serious : « Are you sure you’re ok? Can we help? ». I look at him as gently as possible (hands-heart energy), but he remains firm. The youngest, the one on guard, has a light smile, trying to desappear behind the barrier.
///Une journée sans danser est une journée perdue, Nietzsche disait quelque chose comme ça... Ou plus exactement : "Et que l'on estime perdue toute journée où l’on aura pas dansé au moins une fois." (Ainsi parlait Zarathoustra)***
///A day without dancing is a day wasted, as Nietzsche o firm. The youngest, the onence said… Or, more exactly : “And lost be the day to us in which a measure hath not been danced.” (Thus Spake Zarathustra)***